mercredi 19 mars 2008

POPULATIONS EMPOISONNÉES PAR LES PAYS RICHES (LE G-8)

Les populations sont des cobayes
pour les chercheurs militaires

STÉRILISER DES POPULATIONS CIBLES

ARMES MILITAIRES BACTÉRIOLOGIQUES POUR TUER OU RENDRE INVALIDE
une bonne partie des populations de la Terre
Ils n’ont pas besoin d’éliminer (de tuer sans éveiller les soupçons) les gens qui les dérangent : ils n’ont qu’à les infecter en les intoxiquant (aliments infectés ou vapeurs chimiques dans l’air) pour en faire des malades affligés de DOULEURS CHRONIQUES à vie. C’est terrible ce que les espions militaires sont amenés à faire aux ‘’défenseurs des peuples et éveilleurs de conscience’’. Et ces agents chimiques ou biologiques qui rendent des Humanistes invalides à vie ; il faut savoir quels seraient les éléments inoculés au départ sinon il est impossible de les déceler voire très diffic
Des molécules comme celles agissant sur la composition sanguine (douleurs musculaires) pourraient représenter une arme efficace et la production de ces molécules n’est pas techniquement difficile.
Ainsi, l’entreprise (MILITAIRE) américaine Epicyte a développé un maïs contraceptif en modifiant génétiquement le maïs afin qu’il produise un anticorps contre le sperme humain. Elle souhaite dorénavant pouvoir le produire en grande quantité afin de vendre ces anticorps sous la forme d’un gel contraceptif. Pourtant, il n’existe encore aucune preuve de l’intérêt économique des “plantes-médicaments” par rapport à la production des mêmes molécules par des cellules GM cultivées en fermenteur.
De plus, cette technologie ainsi que les produits qui en résultent sont très difficiles à contrôler. Le scandale du maïs Starlink (cf. Inf’OGM n°18) ou plus récemment du maïs Bt10 aux Etats-Unis sont là pour nous le rappeler (cf. Inf’OGM n°62). Ils ne se gênent pas pour utiliser la nourriture contre nous (c’est inacceptable, c’est carrément de l’intimidation que font les États aux populations de la Terre).


Cette semaine, les Nouvelles TVA du soir annoncent qu’en Italie un groupe de mafieux terroristes vient d’être arrêté : cette mafia formait des soldats terroristes 6-11-7 à 22 hrs 30

En 1943 et 1944, les Etats-Unis d’Amérique avaient déjà étudié douze mille produits chimiques et en avaient sélectionné sept mille comme possibles armes de guerre… d’ailleurs, en 1945, un crime prémédité contre l’humanité est étudié en vue de détruire les rizières autour des grandes villes du Japon. Ces produits chimiques étaient les précurseurs des Agents chimiques utilisés au Viêt-nam.
GAZ NEURO-TOXIQUES créent plusieurs sortes de maladies et la mort si voulue.
Dans la guerre micro-biologiques des États Conquérants contre les Populations de la Terre et leurs groups de défense.

L’objectif général de ces recherches sur les venins reste peu clair. La plupart des toxines étudiées sont des neurotoxines, et de nombreuses études neurologiques ont été réalisées, incluant l’analyse des effets neurotoxiques de venins bruts, des recherches fondamentales sur les mécanismes de la toxicité, sur les effets d’une toxine de poisson sur l’activité du cerveau (11), et sur les effets comportementaux de mycotoxines (12). Une vaste gamme de toxines de serpents a été étudiée au CRSSA, dont la dendrotoxine, la paradoxine, la crotoxine, et l’ammodytoxine (13). Il est notable qu’un élément constant des travaux français de biodéfense a été et reste les recherches sur la grippe.

La première attaque chimique massive employé avec succès lors de la Première Guerre mondiale eu lieu le 22 avril 1915, près d’Ypres par l'armée allemande. La vapeur de chlore envoyé sous forme d'un nuage dérivant sur les lignes alliées était émise à partir de bouteilles d'acier ouvertes sur place. L'attaque fit environ 10 000 victimes (morts ou hommes hors de combat). À la fin du conflit, l’utilisation de plus de 100 000 tonnes de produits toxiques aura causé la mort de plus de 90 000 soldats. Mais il s'avère que la France avait mené des recherches secrètes avant la Grande Guerre sur le sujet et avait employé ponctuellement du gaz lacrymogène non-léthal sans succès dans des projectiles nommés engins suffocants.
Face à cette menace de guerre chimique, la communauté internationale signe le protocole de Genève, le 17 juin 1925. Cet accord entraîne la prohibition des gaz asphyxiants ou toxiques et des moyens bactériologiques lors des conflits armés.

Ils ont remplacé le sympathique arsenic de nos grands-mères par des neurotoxiques qui tuent par simple contact ou qui invalident à la vie la pauvre personne qui en est atteinte et qui ne saura jamais l’origine criminelle et militaire de ses maux.
Enfin, le curare paralysant est souvent employé dans les opérations chirurgicales. Autrefois porteur de mort, le poison peut aujourd'hui détraquer le système et l’enfoncer dans la douleur chronique. Le crime était presque parfait
La guerre ?
Ils ne font plus la guerre
Ils détruisent l’ennemi sans guerroyer et
simplement en l’empoisonnant avec des gaz chimiques sans le tuer.
Ils n’ont donc plus besoin de soldats en réalité!
Ils intoxiquent des aliments pour invalider
une bonne partie de la population mondiale
et ainsi la tenir avec les remèdes de leurs Chercheurs militaires

*** Plus de 500 000 Chercheurs dans le monde travaillent pour le domaine militaire: INQUIÉTANT !

C'est connu: des populations saines et bien informées sont indestructibles et ingouvernables; alors les pays conquérants les endettent et les rendent malades et dépendandes pour les tenir et les manipuler à leurs guises.

ARMES BIOLOGIQUES : POTENTIALITÉS DÉCUPLÉES PAR LA TRANSGÉNÈSE
Les armes biologiques comprennent les armes bactériologiques et les armes virologiques.
Les armes biologiques sont une classe à part d’armes puisqu’elles sont une menace sur nous tous et qu’on peut difficilement les suspecter et s’en défendre.
Ces armes biologiques incluent des organismes vivants capables de se reproduire et de sévir au-delà des cibles prévues initialement.
Toutes les recherches et les découvertes alimentaires comme c’est le cas pour les OGM (organismes génétiquement modifiés) c’est d’abord pour le domaine militaire : c’est la triste réalité.
RÉVOLUTION BIOTECHNOLOGIQUE ET ARMES BIOLOGIQUES
Au cours des années 80, les implications militaires du génie génétique se sont précisées. Ainsi, en 1989, dans un article de la Revue de la Marine Américaine (Naval War College Review), un stratège américain déclarait : “Les perspectives des armes biologiques sont très intéressantes. Les armuriers explorent ce domaine. Les micro-organismes par exemple, peuvent être rendus résistants à des antibiotiques, des vaccins, être plus mortels, plus faciles à manipuler, difficile à détecter et plus stables dans un environnement extérieur.
Il y a longtemps qu’ils savent les utiliser, et les exemples montrent que ces objectifs n’ont jamais été du domaine de la science-fiction mais bien de la réalité.
Le développement d’armes biologiques efficaces et fiables nécessite un programme de recherche fiable et secret.
Ils savent se procurer des souches virulentes des agents biologiques, en produire de grandes quantités sans perdre l’efficacité d’action et comment développer des méthodes de dissémination efficaces.
Mais la faible propension des agents pathogènes à devenir des armes de guerre ne doit pas être sous estimée. Au sens militaire, un organisme doit répondre à un “cahier des charges” particulier. Il doit pouvoir être produit en grandes quantités, agir rapidement, et persister dans l’environnement ou dans le corps de l’individu.
Les maladies doivent disposer d’un traitement afin de protéger les troupes militaires offensives. (Donc, Humanistes, fouiller, car il y a un traitement pour ce qu’ils vous ont peut-être inoculés si vous avez un problème de santé d'origine mystérieuse).
Le Bacille d’Anthrax, par exemple, répond à l’ensemble de ces exigences militaires et les victimes peuvent être guéries, même après plusieurs jours, par un traitement aux antibiotiques. Ainsi, seule une minorité de personnes mourront d’une attaque à l’anthrax dans des circonstances où la réponse médicale est disponible, comme ce fut le cas lors des attaques terroristes en 2001 aux Etats-Unis. Dans ces conditions, une simple manipulation génétique visant la résistance aux antibiotiques de l’agent pathogène pourrait le rendre bien plus létal en affectant l’efficacité et les délais des traitements. Les possibilités techniques de telles manipulations sont multiples et des méthodes ont été mises au point avec succès.
De nombreux exemples pourraient démontrer cela mais un est particulièrement parlant : le transfert de gènes de “bronzage”. De nombreux micro-organismes sont rapidement éliminés par une exposition au soleil et sont donc limités en tant qu’armes biologiques. Ces micro-organismes sont donc utilisés de préférence la nuit pour atteindre une grande efficacité d’action, puisqu’ils ne sont pas exposés aux rayons ultraviolets de la lumière du soleil. Mais des “gènes de bronzage” ont pu être transférés dans leur génome, procurant à ces organismes une protection contre ces rayons ultraviolet. Ces gènes peuvent être, par exemple, impliqués dans la synthèse de caroténoïdes (Sandmann et al. 1998).
D’autres organismes ont été modifiés afin de pouvoir s’attaquer directement à certains matériaux (plastique, caoutchouc, métaux...) et donc avoir “clairement le potentiel d’armes de guerre ou d’agression si utilisés contre du matériel crucial (ou contre des populations) pour le déroulement de la vie civile”, selon le gouvernement britannique (2). Ainsi, un microbe génétiquement modifié pour être capable de détruire le manteau en plastique recouvrant les avions militaires en moins de 3 jours, a été mis au point par les laboratoires de recherche de la marine américaine.
Ils ont aussi développé la technologie Terminator (cf. Inf’OGM n°48, décembre 2003) qui rend les semences de plantes stériles afin de protéger les intérêts des semenciers et qui pourrait être utilisée dans le cadre de la guerre économique. Si les cultures de plantes Terminator se répandent dans le monde entier, il serait alors aisé pour une entreprise transnationale d’arrêter les ventes de semences à un pays ou une région pour des raisons économiques ou politiques. En effet, après plusieurs années de culture de ces plantes stériles, seules de petites quantités de semences seraient disponibles, paralysant l’agriculture et exposant le pays à une crise économique et / ou une famine.
Quand le contrôle biologique légitime les armes biologiques

Fin des années 90, deux champignons GM (Génétiquement modifiés) étaient prêts dans les laboratoires, Pleospora papaveracea et Fusarium oxysporum. Le premier fut testé en 2001 en Ouzbékistan, avec financements et appuis scientifiques américains, pour ses capacités à détruire des champs d’opium. Le deuxième devait être testé en Colombie en 2000 pour sa capacité à détruire les cultures de coca, mais en réalité leurs buts étaient tout autre.
L’utilisation de ces organismes destructeurs de cultures n’étaient que pour menacer les États Trafiquants et les mettre aux pas des États Conquérants.

Ce contrôle biologique des mauvaises herbes ou insectes dans le cadre d’une agriculture durable n’était qu’une façade qui cachait l’intention militaire de tout contrôler par la menace, l’intimidation, la peur, la destruction ou la maladie (rendre les gens invalides physiquement et mentalement). Cet argument est dénoncé par des scientifiques spécialisés dans le contrôle biologique qui déclarent : “nous rejetons tout lien entre un contrôle biologique légitime et l’utilisation d’agents biologiques dans l’élimination des parasites…. (d’humains jugés comme ‘’parasites’’).

Ainsi, le contrôle biologique par des organismes mis en place militairement régule les populations considérées comme ‘’parasites’’ et les éradique par leurs cultures cultivées militairement comme le font les mais modifiés génétiquement pour rendre stérile ou affaiblie sanitairement certaines populations cibles.

Le développement, la production, le stockage, l’acquisition et la rétention d’armes biologiques ou toxiques “quels que soient la méthode de production sont des menaces que le Gouvernement Mondial (Couronne d’Angleterre + Pape + …) font aux populations de la Terre.

Ces “armes, équipements ou modes de dissémination destinés à l’utilisation d’armes biologiques ou toxiques à des fins hostiles ou dans le cadre de conflits armés” et aussi dans l’utilisation quotidienne de leurs milliers d’Agents Espions dans le Monde.

DES VIRUS MODIFIÉS POUR TUER
... et/ou pour nous handicaper...
... et/ou pour INVALIDER par la maladie chronique...
… pour tuer certains d’entre nous qui les dérangent tout en évitant les soupçons sur eux
Dans les années 90, des chercheurs russes ont modifié génétiquement des propriétés de la bactérie Anthrax. Ces modifications avaient pour conséquences de rendre obsolètes les vaccins existants et les méthodes de détection de la bactérie (1). Ils ont également développé un nouveau vaccin contre cette bactérie modifiée. Faisant suite à ces travaux, des chercheurs américains du Ministère de la Défense ont également modifié génétiquement cette bactérie (2). Ces expériences auraient pour objectifs de comparer la souche modifiée américaine à la souche modifiée russe. En 1986, des chercheurs américains ont introduit dans la bactérie Escherichia coli (inoffensive et présente dans l’estomac humain), un gène codant pour une toxine de la bactérie Anthrax. Escherichia coli modifiée synthétisait cette toxine et avait donc acquis des propriétés meurtrières
(3) La peste a également été étudiée. Selon des scientifiques russes, la bactérie responsable des épidémies de peste a été modifiée afin de résister à 16 antibiotiques différents
(4) Des chercheurs allemands ont modifié génétiquement le virus Ebola et ont découvert que ce virus devenait encore plus mortel lorsqu’une partie d’un de ses gènes était supprimée. Les chercheurs venaient de supprimer la fonction virale diminuant la toxicité de ce virus
(5) Enfin, des scientifiques japonais ont réalisé une combinaison de gène du virus du SIDA humain avec des gènes du même virus attaquant les singes et un gène humain codant une protéine impliquée dans le système immunitaire. Les résultats obtenus ont montré que le gène humain stimule la multiplication d’un tel virus, et, selon les chercheurs, “a un effet sur la multiplication virale et la toxicité chez l’Homme” (6).
VACCINATIONS COMME ARMES
(contre des populations cibles)
L’Afrique est le Pays le plus vacciné et c’est là qu’on retrouve le plus haut taux de sidatiques dans le monde.
La production de vaccins est produite d’abord comme armes militaires avant d’être utilisés comme médicaments. Et c’est le cas d’autres substances actives biologiquement dites “comestibles” (moléculture). Mais si elles étaient produites par des cultures agricoles, cela pourrait rapidement se révéler dangereux dans le cadre d’une utilisation hostile.
Depuis ces dernières années, les modifications génétiques des plantes agricoles par des cheurcheurs militaires et qui cherchent, entre autres, à produire et fournir des vaccins comme contre-poisons à leurs armes chimiques et bactériologiques.


Des molécules comme celles agissant sur la composition sanguine (douleurs musculaires) pourraient représenter une arme efficace et la production de ces molécules n’est pas techniquement difficile.
Ainsi, l’entreprise (MILITAIRE) américaine Epicyte a développé un maïs contraceptif en modifiant génétiquement le maïs afin qu’il produise un anticorps contre le sperme humain. Elle souhaite dorénavant pouvoir le produire en grande quantité afin de vendre ces anticorps sous la forme d’un gel contraceptif. Pourtant, il n’existe encore aucune preuve de l’intérêt économique des “plantes-médicaments” par rapport à la production des mêmes molécules par des cellules GM cultivées en fermenteur. De plus, cette technologie ainsi que les produits qui en résultent sont très difficiles à contrôler. Le scandale du maïs Starlink (cf. Inf’OGM n°18) ou plus récemment du maïs Bt10 aux Etats-Unis sont là pour nous le rappeler (cf. Inf’OGM n°62). Ils ne se gênent pas pour utiliser la nourriture contre nous (c’est inacceptable, c’est carrément de l’intimidation que font les États aux populations de la Terre).
Plusieurs articles démontrent que les plantes transgéniques peuvent induire une réponse immunitaire chez l’Homme (Haq et al. 1995, Streatfield/Howard 2003), et des essais cliniques sur patients humains OU HORS CLINIQUE SUR DES HUMAINS ET À LEUR INSU sont en cours de réalisation, testant des vaccins produits par des cultures ET DES DES BACTÉRIES PATHOGÈNES ET DANGEREUSES (3).
Ces vaccins ET BACTÉRIES peuvent être extraits de la plante en vue de traitement ultérieur ou bien directement administrés aux patients par consommation de la plante productrice OU PAR VAPEURS TOXIQUES ÉMISES DANS L’AIR AVOISINANT DE LA VICTIME CIBLÉE PAR L’ÉTAT (CIA, INTELLIGENCE SERVICE, NSA, NASA…).
Les vaccins et les bactéries ne sont qu’un exemple des différentes molécules pouvant être produites par des cultures transgéniques. Plusieurs entreprises militaro-pharmaceutiques utilisent cette technologie afin de produire des enzymes industrielles, des hormones de croissance ou encore, des produits pharmaceutiques, ce qui pose un problème sérieux pour la santé humaine et l’environnement, surtout lorsque ces molécules pharmaceutiques sont produites par des plantes comestibles (4).
En ce sens, la récente mission parlementaire française sur les enjeux des essais et de l’utilisation des OGM a proposé dans son rapport d’“adapter les conditions de ségrégation d’une culture OGM à finalité médicamenteuse en fonction du danger potentiel que représenterait une ingestion accidentelle ou intentionnelle de l’État sur certains de ses citoyens. En particulier, utiliser des plantes qui n’ont pas de finalité alimentaire, sauf nécessité absolue dûment justifiée [par les groupes militaires d’espionnages] et protéger matériellement les parcelles de plantes transgéniques à finalités militaire et médicale….
Dans le cas de conflits prolongés, il pourrait être tentant d’utiliser de telles cultures pour répandre des molécules nocives, induisant par exemple des cancers ou des diminutions de fonctions vitales comme la fertilité chez les Hommes ou les animaux, ou encore en introduisant la fragilité d’une culture qui pourrait conduire à sa destruction complète. De tels “outils guerriers” pourraient aisément être introduits dans les stocks de semences, grenier alimentaire d’un pays. Une telle action peut être simplement effectuée sous couvert de distribution d’aide alimentaire.

« Plus il y a de fous, moins il y a de riz »

Le bio terrorisme BRITANNIQUE
Ces dernières années, plusieurs groupes terroristes et individus ont employé, ou essayé d'utiliser, des armes biologiques. En 1984, des membres de la secte religieuse Rajneesh, établie en Oregon, ont infecté les buffets de salades de plusieurs restaurants à l'aide de Salmonella typhimurium, intoxiquant et rendant malades 751 personnes (imaginez combien de végétariens pacifiques ils peuvent intoxiquer ainsi).

ile.

Tant que la pauvreté et la maladie sera rentable pour les pharmacies et ceux qui gouvernent....

conclusion

Il est impossible d'utiliser des armes biologiques si elles n'existent pas, et le meilleur moyen d'empêcher leur emploi consiste donc à interdire leur mise au point, leur fabrication, leur acquisition, leur stockage et leur conservation. À cet égard, il importe de continuer à exercer des pressions en vue de renfocer la Convention sur les armes biologiques et à toxines (CABT).


..... à suivre ...

par Viny Ergé mon e-mail soleilpourtous@hotmail.com