mercredi 19 mars 2008

TORTURE DES PRISONS BRITANNIQUES partout dans le monde


25 MILLIONS DE SOLDATS AU SOLDE DE LA COURONNE D'ANGLETERRE

70 PAYS
ENSEIGNENT À TORTURER LES CITOYENS

En 2007 on torture encore dans plusieurs prisons partout dans le Monde Entier

LA TORTURE existe encore aujourd’hui dans bien des pays, et même des prisons Américaines ont été dénoncées comme étant des lieux où l’on y torturait des prisonniers, des médias y ont même dernièrement montré des photos de femmes soldats torturant des prisonniers attachés en laissant leurs chiens les mordre

SCOOP CAMP TERRORISTE EN GRANDE BRETAGNE

« Scandale en Angleterre, des images de ce qui est un CAMP TERRORISTE EN ANGLETERRE », dit l’animatrice au canal 6 ce 27-10-7 aux Nouvelles de 22 hrs 30.


Elle poursuit « En Grande Bretagne, 5 hommes y tiennent un CAMP TERRORISTE. Un homme qui se fait appelé Mohamed Hamid y organise des Attentats Terroristes et entraîne pour cela. On y voit un vidéo où une dizaine d’hommes habillés en militaires, s’entraînent au combat et luttent entre eux dans un boisé de la Grande Bretagne ».

La Torture était les bases de nos anciens systèmes d'États de Justice
Nos Système de Justice d’autrefois étaient des Systèmes de Torture. On ne faisait pas qu’emprisonner des humains : on les torturait quotidiennement.

LA TORTURE : OUTIL DE LA JUSTICE.
Jusqu’à 1788, la torture était un rouage normal de la machine judiciaire de la plupart des États du Monde Entier! Et oui, nos Système de Justice d’autrefois étaient des Systèmes de Torture. On ne faisait pas qu’emprisonner des humains : on les torturait quotidiennement.

Il n’y a pas si longtemps, nos Papes décapitaient eux-mêmes de leurs citoyens en public.
Aujourd’hui encore il y a des endroits (comme sur des Îles) et des prisons où des gens emprisonnés subissent des tortures. De temps à autres, nos Médias nous le prouvent par des photos et des vidéos dissimulées qui nous montrent des prisonniers subissant des sévices comme d’être attachés et mordus par les chiens enragés des policiers des cachots.
Mais qu’est-ce qui se passe donc dans notre monde ?

Il ne passe pas une année sans que les Médias nous montrent des photos prises à l’insu des geôliers et qui nous montrent des prisonniers se faire torturer

Entre 3 et 5 millions de femmes ont été torturées et tuées par le Clergé pendant 300 ans (l’Inquisition), durant le onzième et le treizième siècle.

Tour de Londres (forteresse, palais royal et prison : lieu d’exécution et de torture.)

Tour de Londres: résidence royale et lieu de torture

La Tour de Londres, aussi connue sous le nom de « Palais Royal de sa Majesté » ou de « Forteresse », est un monument historique qui se situe dans le centre de Londres, sur la rive nord de la Tamise. On parle aussi souvent de « Tour Blanche » en souvenir de la forteresse de forme carré qui fut construite par Guillaume le Conquérant en 1078 et qui fut à l'origine de l'enceinte. Mais contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, la Tour de Londres est un ensemble de plusieurs bâtiments. Elle fut construite comme forteresse, palais royal et prison.
Mais c'est aussi un lieu d'exécution et de torture, une armoirie, une salle de trésor, un zoo, un observatoire, et depuis 1303, elle abrite les
bijoux de la Couronne du Royaume-Uni.
La Tour de Londres fut fondée en 1078, année où Guillaume le Conquérant en ordonna la construction afin de protéger les Normands des habitants de Londres, mais aussi pour protéger la ville des ennemis. Guillaume exigea que la Tour soit construite en pierre de Caen, matériau qu'il avait spécialement fait importer de France. Il désigna l'Evêque de Rochester, Gundulf, comme architecte attitré. Au 12ème siècle, Richard Coeur de Lion, fit construire une fortification autour de la Tour Blanche et fit creuser des douves qui furent ensuite remplies d'eau provenant de la Tamise.
Les douves n'étant pas suffisamment efficaces, au 13ème siècle, Henry III s'inspira de la technique néerlandaise. Il renforça aussi la fortification en détruisant le mur à l'est de la ville afin de prolonger le tracé, et ce malgré les critiques des habitants de la ville. Henry III transforma ensuite la Tour en principale résidence royale. La fortification fut achevée entre 1275 et 1285 par Edouard Ier qui construisit le mur externe, complétant ainsi la fortification interne pour créer une double défense.
Une ménagerie royale fut bâtie au 13ème siècle, probablement dès 1204 sous le roi Jean, et fut agrémentée d'animaux collectionnés par Henry Ier dans son palais à Woodstock, près d'Oxford. En 1804, la ménagerie était ouverte au public. La Tour de Londres fut utilisée pour emprisonner les personnalités ou les dissidents religieux. Ranulf Flambard, évêque de Durham condamné pour extorsion, fut le premier homme à y être incarcéré en 1100. Les criminels de basse classe étaient généralement pendus sur la place publique à l'extérieur de la Tour. Dans la salle des tortures, plusieurs appareils de torture comme la presse étaient régulièrement utilisés. Anne Askew fut l'unique femme à y avoir été torturée. Elle était accusée d'hérésie.

Tortures britanniques pendant la Guerre froide
Jacques Duplouich 04/04/2006 Mise à jour : 20:17

AU LENDEMAIN de la Seconde Guerre mondiale, dans l'Allemagne vaincue, le Royaume-Uni, puissance occupante a, comme ses alliés, géré nombre de camps de prisonniers. Il n'y avait pas que des nazis dans les geôles. Avec le spectre du stalinisme aux portes de l'Europe occidentale, les autorités britanniques s'intéressaient de près aux militants et espions communistes ou présumés tels.

La traque fut implacable et impitoyable, comme le donnent à voir les documents photographiques publiés, hier, par le quotidien The Guardian. Le centre de détention de Bad Nenndorf, près de Hanovre, géré par une annexe du ministère de la Guerre, se distingue. Les spécialistes en interrogatoires recourent aux coercitions extrêmes : privation de sommeil, rossées, hypothermie, utilisation d'instruments de tortures empruntés à l'arsenal de la Gestapo.

A Londres, le gouvernement est persuadé de l'imminence d'une troisième guerre mondiale et veut des indications sur les intentions militaires de Moscou. A Bad Nenndorf, les services britanniques détiennent de vrais criminels de guerre nazis et des agents à la solde de l'Urss. Mais, en maltraitant les 372 hommes et 44 femmes emprisonnés, de 1945 à 1947, ils torturent, aussi, des innocents. Comme Gerhard Menzel, 23 ans, et Heinz Biedermann, 20 ans, soupçonnés indûment d'être «d'ardents communistes», affamés et battus comme plâtre.
«Squelette ambulant»

A l'époque, un ministre limite la communication sur cet épisode à «quelques personnes». Les pratiques rappellent trop, selon lui, «celles des camps de concentration allemands». Mais, des photographies de prisonniers réduits «à l'état de squelette ambulant» sont prises. Une enquête est confiée à Scotland Yard. Accablante au point d'être frappée du sceau Secret défense. The Guardian, se prévalant de la loi sur la liberté de l'information, obtiendra la levée de l'interdit en décembre 2005 puis, en appel la semaine dernière, quelques clichés. A l'époque, quatre officiers du camp furent jugés, discrètement, en cour martiale. Le seul condamné fut le médecin du camp, chassé de l'armée. Le colonel Robin Stephens, commandant le centre, fut, lui, acquitté et autorisé à réintégrer le M I5, le contre-espionnage britannique.

14 organisations des droits de l'homme dénoncent Londres :


LONDRES COUPABLE
En Grande-Bretagne, 14 organisations de défense des droits de l'homme, dont Human Rights Watch (HRW), refusent que Londres utilise des informations obtenues sous la torture dans d'autres pays.


.... à suivre.....



par Viny Ergé mon e-mail soleilpourtous@hotmail.com